Le droit au logement paraît un principe fondamental. Droit qui pourrait être une affectation de logement.
Avec une adaptation au fil du temps de la surface habitable du couple, selon que le foyer s'agrandit ou diminue.
La remise en cause de la propriété privée peut aider à cette modification des comportements.
La qualité du logement (notamment au niveau du bruit) et la disponibilité d'espaces "communs" de quartier (salles de réception, chambres, bibliothèques, etc), pourrait aller dans un sens de réduction au "nécessaire et suffisant" de la taille du logement.
Si nous voulions bien nous dispenser de ces signes extérieurs de richesse/importance/puissance/existence (au choix).
Là aussi, adapter ses choix à ses besoins/capacités (une cuisine équipée pour un professionnel est-elle nécessaire à quelqu'un qui ne fait que réchauffer des plats préparés, faire des salades ou cuire des oeufs durs ?).